Mise en œuvre pédagogique

Nos mises en œuvre au quotidien des apprentissages est facilité par plusieurs atouts de notre école :

Effectifs raisonnables par classe (moins de 27 élèves en moyenne)
Organisation en double niveau de classe (tutorat, parcours des apprentissages différenciés au sein de deux niveaux)
Une équipe enseignante en constant dialogue à différents moments, qui permet notamment de vraiment suivre l’élève tout au long de son parcours à Saint André.

Quelques exemples de nos mises en œuvre qui traduisent notre volonté d’exigence, de réussite, de lien entre l’équipe, d’un parcours personnalisé à chaque élève : Ils ont cours d’anglais avec une intervenante.

Anglais : Dès la moyenne section de maternelle, les élèves bénéficient d’une demi-heure d’anglais hebdomadaire. À partir du CP, elle enseigne 1 heure par semaine à chaque niveau de cette classe, puis les enseignantes font 30 minutes de réinvestissement avant le prochain cours.
En classe de CM2, les élèves passent le niveau « A1 » du CECRL exigé en fin de 6ème.
Mathématiques : Du C.P au CM2, les enseignantes travaillent avec une méthode heuristique qui fait la synthèse de nombreuses pédagogies historiques (Ermel, Freinet, Montessori…), et d’autres plus récentes (méthode de Singapour…) MHM s’appuie sur un rebrassage permanent des notions qui permet aux élèves de mieux ancrer les apprentissages.
Français : Nous avons une méthode qui va être suivie à partir du CE1, la méthode Picot. C’est une mise en œuvre guidée pas à pas, qui nous permet d’assurer la performance en orthographe lexicale et grammaticale tout en apportant un apprentissage de la compréhension de lecture.
Lecture : La méthode de lecture est une approche syllabique avec un manuel scolaire grâce auquel l’enseignante va au fur et mesure des progrès faire évoluer les besoins de l’élève en proposant des situations de lecture adaptées. Nous pouvons proposer ce parcours différencié et personnalisé grâce à notre effectif raisonnable et ajusté.
Un projet numérique abouti : Nos élèves vont commencer l’apprentissage de l’utilisation raisonnée des « écrans ». En élémentaire, les enseignantes leur proposeront des activités, des apprentissages avec des tablettes sur des instants pédagogiques choisis. De plus, l’outil informatique construit notre pratique de la différenciation : dictées enregistrées, applications de lecture rallye ou de mathématiques, apprentissage du graphisme, … Nous sommes vigilants que ce ne soit pas une « récompense » mais un outil supplémentaire à ceux qui existent. Les classes d’élémentaire sont équipées d’un tableau interactif, c’est un écran qu’ils investissent et non qu’ils subissent. Grâce à cet outil, ils peuvent mieux appréhender l’invasion des Barbares de l’Empire romain avec une carte interactive qu’une carte statique ou encore lors d’une dictée sur le pinson, ce type de tableau nous permet immédiatement de leur montrer à quoi ressemble cet oiseau et son cri.